BIOGRAPHIE DE L'ARTISTE

#ABOUT THE ARTIST

Son travail photographique traite de la place du corps dans nos sociétés et de la place du lien dans un rapport au temps.

Elle oppose un corps-mémoire, un corps qui tire sa valeur d’être un porte-esprit à un corps mécanisé, sujet-consommateur et objet-consommant et que l’on manipule l’un par l’autre. Elle s’appuie sur le symbolique et les archétypes sociaux afin de proposer une intimité sensible et critique comme alternative à la société robotisante et spectaculaire. 

Elle s’intéresse surtout à la beauté des corps quelconques, ni individualisés ni animalisés, mais où l’animalité de l’homme se confronte à son humanité.

Le corps humain et notamment le corps féminin n’a jamais été aussi massivement manipulé et imaginé par la technique de la production marchande qu’aujourd’hui nous dit Giorgio Agamben, philosophe contemporain. 

Il est donc important de se réapproprier les transformations historiques de la nature humaine que le capitalisme veut confiner dans le spectacle, c’est-à-dire se poser la question de savoir comment et en quelle manière l’homme a-t-il été séparé du nonhomme et l’animal de l’humain et faire donc en sorte que l’image et le corps se fondent en un espace où ils ne puissent plus êtres séparés. 

C’est pour cela qu’il est important pour Catherine James de travailler une image reproduite du corps c’est-à-dire photographié et non pas représentée comme le fait la peinture. Elle aime quant les corps apparaissent comme des trous de lumières et que tout le visible est ramené au désir d’être mis au regard de cette lumière.

EXPOSITIONS CE QUE L’ON EN A DIT

#ABOUT EXHIBITIONS

« Une part de vanité »
Galerie Kennory Kim
Inscrit dans l’être mélancolique, les Vanités, n’ont pas eu besoin de descendre d’une montagne, de se cacher dans les Livres ou de croître dans un Dogme pour nourrir le sacre de la condition humaine et le rappeler au désordre.Catherine James nous les expose et s’expose.

A. Marchais
« animalitas » & « Vesanie »
Galerie Kennory Kim
Passion dévorante et rituels païens charnels, ont façonné et sublimé tout autant nos histoires intimes que les mythes fondateurs de nos civilisations. Catherine James, par son travail photographique, nous plonge le regard dans ce combat éternel des corps. Ses visions, à l’interface entre notre animalité et notre humanité, nous font pressentir la composante « divine » de l’homme.

A. Marchais
« Fragments de caresses »
Galerie Trafic
Les « tableaux vivants » de Catherine James s’imposent comme une méditation exemplaire sur la nudité. A une époque, la nôtre, où le corps humain, plus ou moins dénudé, entre les mains des marchands de temps patentés, est devenu un produit pléthorique où la vénalité le dispute à une vulgarité flagrante déguisée sous les faux semblants d’un trafic anti-rides et anti-graisses.

Joseph Julien Guglielmi

SUPER8/VIDEO

LES SÉRIES VIDEOS

# Videos Work series

SUTURE

Video & performance par Catherine James

QUELQUES PUBLICATIONS

#SEVERAL PUBLICATIONS

2012

« Quand les nymphes parlent des nymphes que disent-elles ? ».

Catalogue de l’exposition proposé par
Paul-Armand GETTE publié aux Editions Tarabuste.

2012

Percutio 2012, trans-cultural writing

Revue de littérature, d’art et de poésie franco-néo-zélandaise. Photographie
« Le banquet des justes » sur la couverture.

2010

« Epidémie poétique dans la ville »

Article dans l’Hebdo Marseille du 19 octobre, par Sabrina Testa rubrique ‘Lire et Dire’. (Photo de la performance de C. James à la Galerie JF Meyer le 16 octobre, et article sur le travail de C. James.).

2010

« Le Bout des Bordes »

Le Journal de la Maison de l’Art Vivant n°11/12/13/14 aux Editions Actes Sud.
1 page de photos de C. JAMES accompagné d’un poème de T. Reut.

2010

« La Mort, etc. » suivi de « Deuil et Irréel, modalités. »

Recueils de poèmes de Tita Reut accompagnés de 2 photos de C. James aux Editions L’Act Mem. Lecture de tita Reut à la Librairie Michèle Ignazi le 9 avril.

2009

Plusieurs publication d’une photo d’un concert de France de Griessen (avec Shanka et Mélanie Törok) à Télessonn

dans Vocatio, contre-culture info, Grenews ou le petit bulletin. 

2009

2 pages de présentation dans Nude Art Today,

Editions Eric Patou.

2005

Publication d’un poème de Tita Reut « Le Tuileur » sur trois photographies de Catherine JAMES appartenant à la série « Le silence nu »

dans la revue d’Art « Le bout des bordes » n°3, mise en page par Jean-Luc Parant et Kristell Loquet, Editions Aldente.

2005

Article dans l’Express Suisse sur l’exposition ‘Girls, girls, girls’ à Neuchâtel

et particulièrement sur la photographie de Catherine JAMES : ‘Sic transit gloria mundi’.

LES LIVRES D'ARTISTE

#THE ARTISTIC BOOKS

Apologie
des astres mort

Catherine James & Tita Reut aux Éditions de l'Ariane

Cet ouvrage, dont tous les livres sont numérotés et signés au colophon par l’auteur et par l’artiste, a été édité à 30 exemplaires, 4 E.A. destinés à l’auteur et à l’artiste, 4 H.C. réservés aux collaborateurs.

La typographie a été imprimé sur Vélin d’Arches 300g à l’Atelier Vincent Auger à Paris. 

Les coffrets en plexiglas ont été ouvragés par Marc Butti dans son atelier de Nice.

Hypostase
d’une icône

Catherine James & Tita Reut aux Éditions de l'Ariane

Un coffret en bois peint par l’artiste, contient trois photographies originales signées de Catherine James. Elles sont contrecollées sur aluminium avec un châssis rentrant et prêtes à l’accrochage.

Un poème de Tita Reut écrit pour cette série accompagne cette triple création.

Coffret édité à 15 exemplaires numérotés et signés au colophon par le poète et par l’artiste (2009)